logo scrool
   
Zoom sur

Zoom sur

Saumur est une ville en pleine transformation ! Retrouvez ici l’ensemble des projets actuels qui façonnent la ville de demain.

  • Accueil
  • Grands projets
  • Journée Nationale de l'Audition 2021 : lancement de la 1ère Journée sans écouteurs

Journée Nationale de l'Audition 2021 : lancement de la 1ère Journée sans écouteurs

Journée Nationale de l'Audition 2021 : lancement de la 1ère Journée sans écouteurs
A l’occasion de la 24e édition de la Journée Nationale de l’Audition jeudi 11 mars 2021, l’association JNA organisatrice de campagnes de prévention sur l’audition, initie la 1ère « Journée sans écouteurs », une expérience visant à sensibiliser sur notre utilisation de ce matériel d'écoute.

La majorité de la population utilise aujourd’hui des écouteurs pour téléphoner, travailler, écouter de la musique, travailler, s'endormir ou encore regarder des films. Contrairement aux croyances collectives, toutes les générations sont concernées. Les experts scientifiques et médicaux de l’association alertent sur ces comportements sociétaux et sur leurs dangers imminents sur l’audition.

Le constat

D'après l’enquête Ifop –JNA #JUSTEAVANT, près d’1 personne sur 5 utilise des écouteurs plus de 2 heures par jour et 38% de 1 à 2 heures. Si la majorité des interviewés écoute à volume modéré, 25% ont pour habitude de pousser le volume.

La dernière enquête Ifop – JNA réalisée en octobre 2020 « Comprendre la parole au travail un défi ? » témoigne que plus de 3 actifs sur 5 en télétravail utilisent un casque ou des écouteurs pour travailler. Parmi eux, 20% l’ont utilisé plus de 2 heures par jour.

Faut-il arrêter l’utilisation des écouteurs ?

Les écouteurs ne sont pas nocifs en eux-mêmes, c'est notre consommation qui peut l'être. Pour éviter la pression accoustique pouvant déclancher plusieurs gênes et troubles de l’audition comme les acouphènes (sifflements et bourdonnements), 2 facteurs sont à ajuster : l'intensité et le temps d'utilisation. 

En effet, nos oreilles fonctionnent en permanence. Leurs mécanismes ne sont pas adaptés pour se protéger naturellement des puissances des émissions sonores. Elles sont fragiles et fragilisées par l’omniprésence de la sollicitation, ses différentes intensités et ses durées imposées ou subies.

A la moindre gêne de compréhension de la parole, le cerveau est mis en difficulté pour aisément décoder les informations qui lui parviennent. L’effet domino de l’audition s’enclenche : pertes de concentration, fatigue, stress, nervosité...

L’oreille a besoin de temps de récupération.

Au-delà du 11 mars, que faire ?

Sans arrêter complètement l’utilisation des matériels d’écoute, des pratiques simples sont à adopter :

  • Varier le mode d’écoute du son : écouteur ou casque / enceintes nomades / directement en sortie de l’ordinateur ;
  • Modérer le volume et la durée de l’écoute de la musique ;
  • Offrir des temps de récupération à l’oreille au cours de la journée : après une visio-conférence, en cours de journée... laissez simplement vos oreilles au repos, dans une ambiance sonore naturelle/calme ;
  • Réduire ensemble le brouhaha collectif issu de nos comportements : nous sommes tous producteurs de bruit. Cela peut éviter de provoquer l’utilisateur des écouteurs pour fuir le bruit environnant subi.
 
Ne manquez rien des actualités de la ville... Abonnez-vous à la newsletter !

Programme de Noël

image_module